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Pin’s, le retour

Pin’s, le retour

Fut une époque, on les arborait fièrement, souvenez-vous. On les piquait sur nos sweatshirts, sur un sac ou une casquette. Ces pin’s à l’effigie de séries ou de dessins animés, de marques ou d’événements avaient leur place dans les années 90. Puis « paf ». La loi de la mode est passée par-là et hop, aux oubliettes. Sauf pour les collectionneurs, dits philopins ou philopinistes, auprès desquels les jeunes créateurs et enseignes plus classiques pêchent l’inspiration.

Le pin’s, un coup de pub cheap

Les magazines féminins et autres conseillères en image ont donné le feu vert : les pin’s, c’est à nouveau in. Ils ont vu le jour à la fin des années 80, notamment grâce à la promotion du tournoi de tennis de Roland-Garros à partir de 1987, puis à celle des Jeux olympiques d’Albertville en 1992. Fabriqués à partir d’acier émaillé, ils sont produits en série et ne coûtent pas grand-chose. Alors on en distribue et on en fait gagner à l’occasion de jeux promotionnels. Pour les marques, les événements et les entreprises, c’est un coup de pub à prix discount, assez viral et plutôt ludique. De leur côté, les ados et enfants (et adultes !) se plaisent à relooker leurs vêtements avec ces babioles colorées et s’amusent à peaufiner leur style. Puis, comme tout effet de mode, il finit par disparaître… Jusqu’à aujourd’hui.

La mode sauce 90’s

Depuis 2014, on observe une nostalgie globale des nineties dans les couleurs, le design, la décoration et bien sûr, la mode. Les salopettes, total look jean, bombers ou encore les tops courts (genre, au-dessus du nombril, si si) signent leur retour dans nos dressings. Et pour compléter la panoplie revival des années 90, les créateurs ont convoqué le pin’s. Jetez un œil du côté des jeunes talents qui se régalent avec ce nouveau joujou : Lolita Picco, Coucou Suzette ou encore Oelwein. Mais les grandes chaînes et grands créateurs s’y mettent tout autant. On pense notamment à Zara ou Dior (bon, ils appellent ça des broches, eux. Mais ils s’y mettent !). Du jeune, du chic, du délire, de l’élégant, du sobre : il y en a pour tous les goûts et pour toutes bourses.

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